Assemblé générale

Pour ceux qui ne fréquentent pas souvent leur courriel UQAM:

Nous vous rappelons qu'une AG DE DÉCLENCHEMENT DE GRÈVE se tiendra le lundi 11 février à 12 h 30 à la salle Marie-Gérin Lajoie. Voici l'ordre du jour :

0. Ouverture & Présidium

1. Adoption de l'ordre du jour

2. Levée de cours

3. Points d'info.

4. Grève

4.1 Modalité de la grève

4.2 Coalition

5. Levée



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Dans cette même boïte de courriel, on peut lire que l'UQAM parle encore de boycott.

je ne sais si ce n'est que de la sale propagande de l'UQAM, mais:

Citation :

L'Association facultaire étudiante de science politique et de droit (AFESPED) s'est prononcée aujourd'hui contre la grève, de même que l'Association facultaire étudiante des lettres, langues et communications (AFELLC).

Avec un taux de participation de 40,4 %, les étudiants de science politique et droit ont voté à 50,6 % contre la grève (425 votes); 44 % étaient en faveur (370 votes) 4,9 % se sont abstenus et 0,5 % des bulletins ont été rejetés.

N'ayant pas obtenu le quorum nécessaire (15 %) pour prendre un vote jeudi dernier, l'AFESPED a tenu un référendum dont les résultats ont été compilés cet après-midi.

Pour ce qui est de l'Association facultaire étudiante des lettres, langues et communications (AFELLC) qui attendait les résultats du vote de l'AFESPED pour se prononcer, 216 se sont prononcés contre la grève, 145 pour et 27 se sont abstenus.

C'est chien pour l'AFESH qui a voté pour à 62%. C'est ce qui s'appel se faire lâcher. Je suis quand même surpris.

La source de Stéphane:
http://www.quotidien.uqam.ca/index.php?article=383


Intéressant: Quand le vote est contre, c'est de la grève. Quand c'est pour, c'est un boycott de cours.

Je confirme les informations fournies par l'UQAM, avec beaucoup de déception. Et en passant, félicitations pour le haut taux de participation...

C'est vrai il n'y avait vraiment pas beaucoup de monde à l'assemblée...

J'ai eu une idée hier: au lieu que les étudiants fassent la grève des cours, qu'ils fassent la grève de la bière pour ainsi forcer Molson à payer la dette de l'UQAM.

Et regardez bien l'inébranlable et vertueuse fibre contestataire des étudiants uqamiens prendre le bord...